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Les relations intergouvernementales sont une des relations les plus importantes dans le monde. Récemment, les pingouins de l’antarctique ont exercé des représailles envers les ours polaires de l'arctique croyant qu’ils avaient tué leur empereur. D’après moi, les deux états devraient se pardonner et mettre fin à leurs difficultés en renouvelant l’échange de leurs produits entre économies.
Avant que la guerre ait débuté il y a deux décennies, il y avait une relation formidable entre les pingouins du sud et des ours polaires du nord. Ils échangeaient leurs produits de glaces comme des sculptures ou leurs crème glacées régulièrement jusqu’au moment où l’empereur des pingouins soit assassiné. Il n’est quand même pas clair qui l’a tué, mais les pingouins croient qu’il a reçu une boule de neige à la tête lancé par un ours. Comme représailles, les pingouins ont bombardé le palais des ours avec des bombes de gaz carbonique qui ont laissé plusieurs ours blessés. Je crois que, les pingouins n’avaient pas assez de preuves pour accuser les ours d’avoir tué leur empereur. De plus, leurs représailles étaient trop extrêmes. En accusant les ours de ces actions criminels, les pingouins ont ruiné une économie magnifique qui existait entre les deux états. Sans aucune preuve concrète concernant l’agresseur de l’empereur, les pingouins n’ont pas été justes d’accuser les ours de ces actions affreux. D’autant plus, les représailles que les pingouins ont commis étaient trop extrêmes. Si les ours avaient effectivement tué l’empereur, celui qui a commit le crime aurait dû se faire punir. Malheureusement se sont des soldats innocents qui gardaient le palais qui se sont fait attaquer. En terminant, je crois que les pingouins étaient un peux trop rapide à avoir accusé et attaqué les ours suite à la perte de leur roi. Sans de preuves concrètes, les représailles effectuées par les pingouins n’étaient pas justifiées et injustes envers les innocents. Est-ce que ce problème va se résoudre bientôt? Je l’espère car, parce que leurs crème glacées étaient écoeurantes.
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Par Benjamin Jordan |