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En 1969, Apollo 11 a eu lieu et Neil Armstrong est devenu le premier homme à marcher sur la Lune. Tout le monde l’a écouté sur leurs nouvelles télévisions et ont su que cet évènement a marqué le début du futur. Toutefois, saviez-vous que les États-Unis ont colonisé la planète de Mars? Les États-Unis ont caché leur « Opération Colonisation de Mars » pour environ cinquante ans et la planète est maintenant devenue une destination de voyage prestigieuse. J’ai eu la chance d’être un des premiers voyageurs à faire un aller/retours et, selon moi, vous devez tout y aller à Mars parce qu’il y a beaucoup à faire et les activités sont très sécuritaires.
Tout d’abord, j’ai eu la chance d’être un des premiers hommes à visiter la région touristique de Mars et il y a beaucoup à faire. On peut y trouver des centres de sports, des piscines sans gravité, des plages artificielles, le saut à l’élastique et beaucoup d’autres activités inoubliables. Je trouve que mon activité préférée est de simplement reposer à la plage et d’écouter des films sur mon portable tout seul. À mon avis, l’absence de son sur la planète rouge et la beauté des paysages de sable se combinent pour former l’expérience le plus reposant jusqu’à date. Il y a plein à faire pour toute la famille. Ensuite, vous êtes complètement sécuritaires à tout temps pendant votre voyage extraordinaire. Depuis le moment que vous arrivez, vous pouvez rester confortable en sachant que vos scaphandres, c’est-à-dire vos costumes conçus pour l’espace, sont construits avec beaucoup de fer. Ils sont alors magnétiques. Les États-Unis ont créé un champ magnétique dans la planète qui garde les voyageurs par terre. Alors, vous n’allez pas flotter vers l’espace et n’avez pas besoin de vous inquiéter. En conclusion, je vous encourage à voyager à la planète rouge parce qu’il y a beaucoup d’affaires à vous préoccuper et vous n’avez de rien à craindre. Si nous, les humains, peuvent voyager à une planète étrangère pour s’amuser, je n’ai aucune idée quoi d’autre nous pouvons faire. Je peux seulement imaginer.
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Par Anthony Saidah |